COMMUNIQUE DE L’UGPE en date du jeudi 7 octobre 2010
L’Union des Groupements de Parents d’Elèves (UGPE) tient à exprimer sa totale désapprobation vis-à-vis du mouvement de grève initié par la CNTP au lycée Antoine Kela de Poindimié. A 4 semaines du Baccalauréat, le Président de ce syndicat, ne peut en aucun cas se prévaloir du soutien des parents d’élèves et encore moins de celui de l’UGPE.
Notre Fédération de Parents d’élèves a toujours dénoncé les mouvements de grève au sein des établissements scolaires, surtout lorsqu’ils pénalisent en premier les enfants et la jeunesse de ce pays. Avant de lancer un mouvement de grève, il y a des préalables à respecter ! à quel moment la CNTP s’est elle rapprochée des parents d’élèves et des élèves pour leur faire part de ses problèmes ? N’y avait-il pas d’autres solutions pour que cette grave question de harcèlement soit solutionnée ? Est-ce responsable à quatre semaines des examens du baccalauréat de lancer un tel mouvement de grève ?
L’UGPE est fatiguée de devoir sans cesse expliquer à des responsables syndicaux qu’un établissement n’est pas un lieu de travail comme un autre. Une école, un collège, un lycée, un internat doivent être des sanctuaires que l’on respecte. Ceci est valable pour tous les partenaires de la communauté éducative, à commencer par les hauts responsables du Vice Rectorat et tout le personnel qui travaille dans l’enseignement !
L’UGPE n’est pas non plus satisfaite de l’attitude de M. Le Vice Recteur qui se rend à Koohnê pour rencontrer le syndicat CNTP, alors que les parents d’élèves de Poindimié et l’UGPE l’ont interpellé depuis plus d’une semaine pour qu’il aille sur place au lycée Antoine KELA afin de discuter avec tout le monde : les grévistes, mais aussi les enseignants, les parents et bien sûr les élèves. Combien de temps devrons-nous supporter ce genre d’attitude dédaigneuse ?
L’UGPE demande solennellement aux grévistes de Poindimié et aux Responsables de la CNTP de suspendre temporairement leur mouvement de grève, le temps de laisser les épreuves du 1er tour du baccalauréat se passer dans la sérénité. En effet, les parents ne sont pas indifférents aux revendications des syndicats mais trouvent le moment choisi pour la grève inopportun et néfaste car il sanctionne inutilement nos enfants qui se préparent à se présenter au baccalauréat.
Le Vice Rectorat a également sa part de responsabilité dans cette affaire. A l’occasion du transfert de compétences qui s’approche, il conviendra de mettre en place des dispositifs qui nous permettront de prévenir et solutionner rapidement les futurs conflits qui ne manqueront pas de se produire.
Enfin, l’UGPE demande aux Parents et aux élèves du lycée Antoine KELA de Poindimié de s’organiser, avec les enseignants, pour retrouver rapidement des conditions de travail et de révision correctes pour le baccalauréat. Nous interpellons le proviseur du lycée pour qu’il mette en place rapidement des révisions pour les élèves de terminales au cours des vacances de la Toussaint. Il en va de la réussite de tous nos enfants, qui n’ont en tout cas jamais mérité de voir leur scolarité et leur avenir ainsi gâchés par l’irresponsabilité des adultes !
Le bureau de l’UGPE.
L’Union des Groupements de Parents d’Elèves (UGPE) tient à exprimer sa totale désapprobation vis-à-vis du mouvement de grève initié par la CNTP au lycée Antoine Kela de Poindimié. A 4 semaines du Baccalauréat, le Président de ce syndicat, ne peut en aucun cas se prévaloir du soutien des parents d’élèves et encore moins de celui de l’UGPE.
Notre Fédération de Parents d’élèves a toujours dénoncé les mouvements de grève au sein des établissements scolaires, surtout lorsqu’ils pénalisent en premier les enfants et la jeunesse de ce pays. Avant de lancer un mouvement de grève, il y a des préalables à respecter ! à quel moment la CNTP s’est elle rapprochée des parents d’élèves et des élèves pour leur faire part de ses problèmes ? N’y avait-il pas d’autres solutions pour que cette grave question de harcèlement soit solutionnée ? Est-ce responsable à quatre semaines des examens du baccalauréat de lancer un tel mouvement de grève ?
L’UGPE est fatiguée de devoir sans cesse expliquer à des responsables syndicaux qu’un établissement n’est pas un lieu de travail comme un autre. Une école, un collège, un lycée, un internat doivent être des sanctuaires que l’on respecte. Ceci est valable pour tous les partenaires de la communauté éducative, à commencer par les hauts responsables du Vice Rectorat et tout le personnel qui travaille dans l’enseignement !
L’UGPE n’est pas non plus satisfaite de l’attitude de M. Le Vice Recteur qui se rend à Koohnê pour rencontrer le syndicat CNTP, alors que les parents d’élèves de Poindimié et l’UGPE l’ont interpellé depuis plus d’une semaine pour qu’il aille sur place au lycée Antoine KELA afin de discuter avec tout le monde : les grévistes, mais aussi les enseignants, les parents et bien sûr les élèves. Combien de temps devrons-nous supporter ce genre d’attitude dédaigneuse ?
L’UGPE demande solennellement aux grévistes de Poindimié et aux Responsables de la CNTP de suspendre temporairement leur mouvement de grève, le temps de laisser les épreuves du 1er tour du baccalauréat se passer dans la sérénité. En effet, les parents ne sont pas indifférents aux revendications des syndicats mais trouvent le moment choisi pour la grève inopportun et néfaste car il sanctionne inutilement nos enfants qui se préparent à se présenter au baccalauréat.
Le Vice Rectorat a également sa part de responsabilité dans cette affaire. A l’occasion du transfert de compétences qui s’approche, il conviendra de mettre en place des dispositifs qui nous permettront de prévenir et solutionner rapidement les futurs conflits qui ne manqueront pas de se produire.
Enfin, l’UGPE demande aux Parents et aux élèves du lycée Antoine KELA de Poindimié de s’organiser, avec les enseignants, pour retrouver rapidement des conditions de travail et de révision correctes pour le baccalauréat. Nous interpellons le proviseur du lycée pour qu’il mette en place rapidement des révisions pour les élèves de terminales au cours des vacances de la Toussaint. Il en va de la réussite de tous nos enfants, qui n’ont en tout cas jamais mérité de voir leur scolarité et leur avenir ainsi gâchés par l’irresponsabilité des adultes !
Le bureau de l’UGPE.